- Est-ce qu’elle ressemblera à 2022, avec une correction boursière importante ?
- Aura-t-on un statuquo ?
- Ou une année positive ?
Le premier mois de l’année nous donne un indice, elle pourrait être bonne pour les investisseurs !
Notre manager Stéphane Gaspoz nous livre son sujet du mois et quelques précieux conseils.
Quelle est la première règle à respecter lors d’un placement ?
=> Déterminer l’horizon temporel.
Nos conseillers accordent une grande importance à cet élément. L’avantage pour un client, est de trouver un bon équilibre entre son objectif de rendement et limiter son risque.
Comme dans tout investissement, il y aura du beau temps et du mauvais temps si on prend une quelconque période de 10 ans. Historiquement, dans quasi la totalité des cas la performance a été positive. Dans le pire des cas, le résultat était nul ou quasi nul après cette durée.
Janvier nous a offert des performances nettes entre 6% à 7% pour un investissement diversifié avec une grande part de titres ou fonds de placements en francs suisses et dans une stratégie équilibrée ou dynamique. Le début d’année rime également avec les premiers dividendes versés. Dans la plupart des solutions que nous proposons, les positions des gestions de fortune proposées par nos sociétés partenaires contiennent des grandes capitalisations qui ont versées des dividendes chaque année ou presque. En clair, dans ces solutions proposées, les dividendes ont rapporté en moyenne 2% à nos clients.
De plus, les premiers résultats d’entreprises cotées en bourse ont été publiés avec des résultats meilleurs que ceux attendus. Il en va de même pour les prévisions de croissance qui sont à nouveau plus optimistes. L’Allemagne et l’Europe par exemple ont réhaussé leurs prévisions. Ces résultats s’expliquent par une certaine panique et incertitude qu’on a vécu en 2022, provoquée par la guerre en Ukraine et la crise énergétique. La presse a peut-être oublié que nous sommes toujours en reprise économique suite à la crise du Covid. Le marché chinois par exemple recommence à consommer et à produire. Le marché de l’aviation et indirectement du tourisme professionnel et privé (accord) ont repris des couleurs.
Et l’inflation dans tout cela ? Elle semble se stabiliser sur les principaux marchés. La Fed va prochainement annoncer une augmentation des taux, elle a toutefois jugé qu’il sera nécessaire «à un moment» de ralentir le rythme de ces hausses. La Suisse a bien résisté avec une inflation plus basse que nos pays voisins. Une hausse des taux de la BNS est cependant attendue courant du mois de mars 2023. Ces quelques indicateurs nous permettent de rester confiants sur nos investissements avec horizon temporel de 5 ans et plus.
Les technologies continuent leur croissance. Le Nasdaq (3’000 valeurs en technologie composent cet indice) semble reprendre sa marche en avant. La cybersécurité ainsi que la robotique sont des éléments d’une grande importance dans le marché actuel. Nul doute que de belles opportunités s’offriront sur les marchés.
Les énergies vertes sont en pleine expansion. L’Europe doit se renouveler dans le cadre de ses moyens de consommation d’énergie. Et à la grande surprise malgré des médias qui propagent le pessimisme, beaucoup de projets énergétiques voient le jour… c’est très bon signe pour les investisseurs.
Dernier point que j’aimerais aborder avec vous est le phénomène particulier lié à la chute du marché des obligations en 2022 (outil de placement jugé peu risqué et donc peu volatil). On a constaté une forte chute, entre 10% et 20% en moyenne, et une volatilité digne du marché des actions. Cette baisse très inhabituelle a surpris bon nombre de gestionnaires de fortune et d’investisseurs. Le principe d’une obligation est un prêt à une entreprise remboursé par cette dernière à 100% à son échéance, des coupons d’intérêts versés annuellement. Si les obligations choisies ou les fonds obligataires contiennent des titres avec un rating élevé, le remboursement de ces titres se fera dans les années à venir lors des échéances respectives de ces titres, et donc de facto à leur valeur initiale ! La baisse momentanée de ces valeurs de 10% à 20% de ces derniers mois seront ainsi corrigées assez rapidement. On peut donc s’attendre à une hausse inhabituelle de ces valeurs ces prochaines mois. Pour l’argent nouvellement investi, il s’agira d’une opportunité peu risquée d’obtenir un rendement intéressant, ou d’opter pour des obligations nouvelles sur le marché offrant un rendement plus élevé. Vendre ses positions existantes serait ainsi une erreur à éviter.
Et l’inflation dans tout cela ?
Elle semble se stabiliser sur les principaux marchés.
La Fed (Réserve fédérale = banque centrale des États-Unis) va prochainement annoncer une augmentation des taux, elle a toutefois jugé qu’il sera nécessaire «à un moment» de ralentir le rythme de ces hausses.
La Suisse a bien résisté avec une inflation plus basse que nos pays voisins.
Une hausse des taux de la BNS est cependant attendue courant du mois de mars 2023. Ces quelques indicateurs nous permettent de rester confiants sur nos investissements avec horizon temporel de 5 ans et plus.
Nous sommes présents à vos côtés pour vous accompagner dans vos placements, actuels et futurs, afin de vous aider à choisir les produits qui vous correspondent le mieux. Un gain de 50% est réalisable sur un investissement de 10 ans avec 4.5% de rendement moyen annuel. Accroitre son capital permet de lutter contre l’inflation et de garder son pouvoir d’achat. Les comptes d’épargne traditionnels en banque rapportent très et ne couvrent pas l’inflation.
Faire travailler son argent devient une évidence. Des solutions d’épargne très intéressantes sont acsessibles dès 100 CHF par mois !
Et vous, à quand votre portefeuille de titres ?
Nous nous réjouissons de vos sollicitations !